Grand Bal de Lorraine

Se parer de sa plus belle tenue ça elle le savait faire, mais à quel sauce elle allait être manger, là c'était tout autre chose. Amélliane avait prit le soin de choisir la plus belle robe qu'elle avait même si elle en avait d'autre car elle avait une certaine attirance pour ce genre de passe-temps.



Elle arriva dans la salle, beaucoup de monde était déjà arrivé et as mal de tête non connu pour la demoiselle. Un peu plus loin elle remarqua le chancellier, sa grace Jade. Amélliane alla à leur rencontre.

- Bonsoir vos excellences. Je ne suis pas très en retard j'espère. dit-elle un peu gêner.

La petite moue ne dura pas longtemps.
Déjà son père l'interrogeait, mais oh miracle, un homme qui arrive et se rend utile en faisant détourner le sujet de la conversation.
Voici donc le fameux Adrian, ses yeux sur Sarah et celle-ci enchaîna les présentations.
Révérence comme il se doit et puis lorsque la Von Strass fini, c'est la Volpilhat et la Talleyrand qui prend la parole.

Votre Excellence, j'espère que la Lorraine arrive à vous divertir.

Puis ses yeux ayant détaillé Adrian, oui, elle est amie avec la Von Strass, donc quiconque s'intéresse à elle, lui parle, la touche et la fréquente, doit se plier à un examen de Carlotta, c'est tout.
Déjà mauvais point pour lui, il l'avait ignoré ! C'était très très mauvais, nul doute qu'il aurait le droit à quelques commentaires à la fin de la soirée.
Pfff, les hommes ils étaient tous les mêmes, pas un pour rattraper l'autre.
A cet instant, la poupée aurait voulu se saisir d'une coupe de vin, mais pas d'inquiétude, elle trouverait bien un moment pour s'eclipser et alla faire ce qu'elle devait faire.
Restant sage, restant comme il fallait, il fallait maintenant attendre le reste, la suite.

La petite, la main dans celle de son oncle, regardait tout autour d’elle. Ses yeux brillaient et un sourire était scotché sur ses lèvres.
A chaque fois qu’elle posait les yeux sur une robe, un meuble ou un objet de décoration elle en était émerveillée.
Elle en était donc là dans sa contemplation quand un son fort peu commun lui parvint à ses petites oreilles. De mère bretonne et de père anglois, la petite savait déceler cet accent si particulier et se tourna dans la direction d’où il provenait.
Le sourire toujours aux lèvres elle tira la main de son oncle pour attirer son attention puis chuchota.

Tonton y’a une angloise. On peut aller la voir ? Dis ouiiiii s’iiiiil teee plaiiiit

Sans vraiment attendre l’accord de Lorrenzzo, elle tira sur sa main et s’approcha de l’anglaise.
Poliment elle fit sa plus belle révérence.

Hello Lady, my name is Cira de Loskley. Your dress is very wonderful.

Se rendant compte tout à coup que personne ne l’avait autorisé à prendre la parole, la petite se mit à rougir et se plaqua contre une des jambes de son oncle. Elle avait promis de rester sage sans faire de bêtise et là elle en avait peut être fait une grosse…Après tout c’était peut être elle la reine d’Angleterre.


**********

The girl, the hand in that of her uncle, looked all around her. The eyes shone and a smile on the lips.
Each time it put down eyes on a dress, a piece of furniture or an object of decoration she was filled with wonder there.
She was there in her contemplation there therefore when a little common sound reached him to the small ears. Of Breton mother and English father, the girl knew how to disclose this so particular accent and turned in the direction of where it came.
Smile always with lips she drew the hand of her uncle to attract his attention then whispered.

Uncle has an angloise it. They can go to see it ? Say yes pleaaaaaase.

Without waiting really for the agreement of Lorrenzzo, she pulled on the hand and went up to the English.
Politely she made her nicest bow.

Hello Lady, my name is Cira de Loskley. Your dress is very wonderful.

Realizing suddenly that nobody had authorized it to speak, the girl started to go red and flattened herself against one of the legs of her uncle. She had promised to remain wise without making stupidity and there she has it can be made an engrossment… It was can be it the queen of England.

Spoiler:

Enzzo finissait un tour de sourire et la politesse, quand Cira entendit un accent inhabituel dans la Lorraine.

Tonton y'a une angloise. Sur peut aller voir la ? Dis ouiiiii s'iiiiil teee plaiiiit

Le jeune ambassadeur n'a pas eu le temps pour réagir, sa nièce l'a attiré vers une Dame et a commencé à lui parler. Enzzo était très embarrassé et plus embarrassé quand il a vu le diadème sur la tête de la dame.
Il savait que la reine de l'Angleterre devait venir et il eu peur qu'elle soit devant lui.

Lorrenzzo essaya de rassurer Cira, donc il a mis sa main sur ses épaules.
Elle devait être aussi effrayé que lui. Enzzo salua avant la reine avec le respect le plus profond et chercha les mots pour lui présenter des excuses.

I am very sorry your Majesty. Could you pardon me?
How then I be forgiven?


Enzzo fut enchanté d'avoir par le passé essayer d'échanger quelques mots avec des voyageurs étrangers, lui ayant enseigné quelques pauvres rudiments d'anglais
Il sentait Cira collé à sa jambe, elle était aussi gênée comme lui. Il espérait, que la reine serait très compréhensive.



Enzzo was finish a tour of smiles and politeness, when Cira heard an accent unusual in Lorraine.

Tonton y’a une angloise. On peut aller la voir ? Dis ouiiiii s’iiiiil teee plaiiiit

The young ambassador didn't the time for react, his niece attracted him towards a Lady, and began to speack to the lady. Enzzo was very embarrassed and more embarrassed when he saw the diadème on the lady's head.
He knew that the queen of the England had to come and he was afraid whether she is in front of him.
Lorrenzzo tried to reasure Cira, so he put his hand on her shoulders.
She must be frightened too, but his oncle was incapable to compete for her. Enzzo bowed before the queen with the most profound respect, and found th words for apologize to her.

I am very sorry your Majesty. Could you pardon me?
How then I be forgiven?


Enzzo was delighted to have to try to exchange some words with foreign travelers, having taught him(her) some poor rudiments of English
He felt Cira collided on his leg, she was also shy as him. He hopped, that the queen will be very comprehensive.

Code:

It's the same as Cira, I'm verry worst, sorry

Félicia après intégré ses bureaux, avec hâte s'était préparé, sans trouver de robe a son gout parfaite pour l'occasion, elle avait du se rabattre sur sa robe en velours vert émeraude, brodé .
C'est avec grasse, enfin elle essaya , qu'elle entra dans la salle de bal, sa timidité fit surface sans tarder.

Bonjour vos excellences... Sortit elle furtivement.

la jeune fille fit un tour d horizon de ses yeux mauves, puis trouva un petit coin encore libre pour s'y mettre et observer.
Elle n'avait ni de belle robe ni de cavalier, Felicia commençait a se demander si sa place était bien là.

Les gens était beaux, avec leur tenus si bien soignées...

Ses yeux étaient émerveillés par toute cette splendeur.

Eudes était très heureux de voir de telles personnes être présentes au Grand Bal de Lorraine même s'il est vrai qu'il en manquait encore pas mal. Bien qu'au départ il n'était pas présent dans la salle, c'est tour à tour qu'il salua les personnes qui venaient jusqu'à lui. D'abord avec Jade.

- Bonsoir votre Grâce, je vous en remercie. Vous êtes tout aussi élégante que d'habitude.

C'est ensuite qu'il déposa un baiser sur le front de sa fille qui venait se présenter à lui et en effet, elle était merveilleuse dans cette robe où un très beau bleu dominait . C'est alors, qu'une belle blonde s'approcha de lui. Lylla. Très heureux de la voir, il s'inclina légèrement avant de lui baiser l'une de ses mains.

- Comment allez vous, ma chère ? Souriant. Vous êtes, MA-GNI-FIQUE !

Il tendit ensuite son bras afin que cette dernière s'accroche à lui. Lui glissant à l'oreille :

- Merci d'être venue.

Esquissant un sourire à Jade, il attendit que cette dernière lui présenta la Marquise de Provence. En attendant, il regarda au loin les nouveaux venus : Sepa, Imladris, Cassandre, ses ambassadeurs et tout les autres diplomates ayant répondu à son invitation avant d'arrêter son regard sur celle qui avait une posture royale, l'Anglaise...

- Je vous laisse un instant.

Alors, il traîna Lylla avec lui en direction de l'Anglaise.

- Bonjour, êtes vous la représentante de la Reine d'Angleterre ? Avec son visage d'ange.

L'attitude calme et posée de la blonde était à cet instant bien loin du caractère volcanique qui pouvait aussi être le sien et que le Chancelier apprenait peut à peu à connaître voire même à apprécier vu l'enthousiasme qui fut le lien à l'instant de l'accueillir.
Un fin sourire étira les lèvres finement ourlées quand le Baron se pencha sur sa main en parfait homme du monde. Voilà qui la changeait agréablement des m'as tu vu qui courtisait une jeune femme comme l'on va à la chasse aux bourrins.

Ses doigts dans sa main, Lylla quitta la posture exigée par la révérence et lui répondit sur le ton de la confidence tout en souriant à son compliment.

Je pourrais presque en dire autant de votre tenue, mais il semblerait que nos projets vestimentaire se soient tout deux retrouvés réduit à néant.
Inutile de revenir sur le sujet, le caca d'oie pour lui et le violet pour elle étant bien trop loin de leur prime désir.

Un nouveau sourire complice avant de glisser son bras sous le sien, avec toute la familiarité acquise au cours de ces derniers jours en sa compagnie.
Le souffle à son oreille réveillant un long frisson qui ne trouva rien de plus amusant que d'effectuer une langoureuse glissade tout au long de sa colonne vertébrale, rosissant à ravir les pommettes de la Baronne.

Mais mon ami, pour rien au monde je ne me saurais soustraite à si agréable compagnie que la votre.

Pendue à son bras, aussi près de lui que les convenances le permettaient, c'est une Lylla souriante et fort aimable envers chacun qu'elle parcouru la pièce à ses côtés. Elle tentait de mémoriser noms et visages assortis ce qui chez elle était une véritable gageure, quand le Chancelier s'excusa auprès de leurs interlocuteurs et l'entraina vers l'autre bout de la salle de réception.

Pas le temps de l'interroger que déjà la voix fusait Bonjour, êtes vous la représentante de la Reine d'Angleterre ? cela était demandé avec tellement de simplicité que son regard brilla d'admiration pour le blond chancelier.

Oh my God ! aurait pu s'écrier la jeune champenoise, une anglaise, il ne manquait plus que ça pour que Lylla ne se sente encore plus perdue, pourtant rien dans sa posture ou encore sur son visage ne laissait deviner l'ampleur de son désarroi.

Faisant écho à son cavalier, elle exécuta une gracieuse révérence accompagnait de quelques mots timides Welcome lady...

Et voila que la duchesse trainait son frère, qui visiblement était énervé à souhait, dans la salle de bal, elle s’avança d'abord vers sa mère un sourire ravie au lèvre en l'entendant :

Citation :

Ma chérie, tu es absolument splendide. Je suis si fière de toi.

Il fallait dire que sa robe était superbe, de plus c'est sa créatrice personnelle qui lui avait cousu normal qu'elle soit magnifique donc ! Elle confia à sa mère

Je dois vous avouez mère que Angel n'ai pas ravi d'être ici, il aime très peu les bals ....

Un nouveau sourire avant de saluer d'un signe de main Sarah, et de chercher des yeux Cira, elle s’avança vers la jeune Cira et lui dit

Ravie que tu sois la gentille Cira, tu es très belle ainsi

Elle lui caressa la joue avant de se redresser et de dire

Bonjour à vous aussi Lorrenzo

Puis elle fit quelques pas et avec grâce fit un peu le tour pour que son frère, qui était casanier, puisse remettre un nom sur les visages

La jolie blonde la bas, c'est Sarah, tu te souviens la jeune pâtissière donc je t'ai parlée puis il y'a Cira et Lorrenzo que nous venons de saluer, puis la bas tu connais déjà c'est Jade de Sparte

Se retournant elle aperçu Sepa

Tiens et voila Sepa l'ancien duc

Elle lui fit un signe discret de la tête pour le saluer de loin. Toujours en montrant à son frère elle continua

Et voici la jeune Carlotta et Imladris et lui la bas c'est Charles, un duc , j'ai du t'en parler une ou deux fois. Ah l'homme prés de Sarah c'est Adrien et la timide la bas tu la connais déjà c'est Amelianne

Un léger sourire en coin en lui faisant un petit signe de la main. Elle s’avança un peu et arriva à porter de vue de Eudes, qu'elle n'avait pas remarquer jusqu'alors

Et voici Eudes von Strass , c'est le chancelier, le remplaçant de jade et ...oh je crois apercevoir une anglaise, allons les saluer et ne dis rien surtout contente toi de sourire

Elle s'approcha de Eudes et de sa cavalière qu'elle ne connaissait pas

Bonjour votre excellence, je vois que tout ce passe pour le mieux et j'en suis ravie. Je vous présente mon cavalier pour la soirée , Angel

Puis se retournant vers l'Anglaise

Hello, Cassandre Louna de Leffe van Loos, duchess of the Lorraine, enchanted

La Talleyrand fit un léger sourire lorsque Adrian s'adressa enfin à elle, visiblement, il avait enfin perçu sa présence.
Lui laissant la parole car, il aurait été inconvenant de la lui couper, elle attendit son tour pour faire jaillir les mots de sa belle gorge.
Excellence, je suis ravie de rencontrer le fameux ambassadeur de Savoie.
Petit coup d'oeil à Sarah, non elle n'essayait pas de la mettre mal à l'aise, mais les discussions de la Von Strass était-elle que Carlotta en oubliait ses soucis de jeunesse.
Des heures durant elles avaient parlés de jeune fille à jeune fille.
Continuant à aligner des mots afin d'en faire des phrases, la poupée poursuivit.

Je trouve la Lorraine parfaite, mais je crains de ne pas être impartiale.

Là, ce fut un nouveau petit sourire et puis, Sarah prenant la parole et voyant que certains s'empressaient autour, Carlotta se dégagea en s'excusant de la conversation pour aller se poser à part.

Si vous voulez bien, je vais voir si on a besoin de moi.

Excuse bidon en place.
Des visages connus, mais la poupée en a marre de faire le premier pas, ce soir, elle faisait son caprice.
Plusieurs soupires sortant de sa bouche, petit passage de sa langue sur ses lèvres afin de les rendre humides.
Au passage, elle avait saisie une coupe de mirabelle, savourant le liquide avec douceur et tranquillité.
La mort de son frère l'avait peut-être touché finalement, elle pourtant si pétillante d'ordinaire avait fini par être limite blasé, du moins c'était son ressenti du moment.
S'eclipsant de la salle pour quelques minutes.

Normalement, en trouve le grand maître du plus grand ordre de chevalerie du royaume germanique plutôt à la lice pour amusement. Mais elle était invité par Ersinn comme ambassadrice et elle ne decline pas une possibilité de rencontre ses homologues. Donc elle a change leur vêtements vers une robe rouge et or plus elegant.

Le bal bat déjà son plain quand les servants ouent les portes à elle. Elle entre et se regarde autour d'elle.

« Je suis ravi de vous revoir excellence. Sans doute sera-ce l’occasion de reprendre notre discussion là où nous la laissâmes.

Le voyage fut des plus agréables. Etre seul dans un fiacre permets de réfléchir, de penser à ce qui importe vraiment. Ce fut donc l’occasion de me ressourcer. »


Je n’aurais pu être accueillit avec autant de douceur que je ne le fut. La Lorraine m’avait sourit en m’invitant à la suivre, ordre auquel je n’aurais désobéit pour rien au monde.

Tout en essayant de me donner la stature qui, je pensais, était indispensable à ma charge, je suivis la Talleyrand vers la salle de bal dont les fastes m’éblouirent les yeux.

J’entrevoyais là une occasion formidable de faire briller mon comté. Mais ce serait mentir que de dire que seul le devoir motivait alors mes actes. L’ambition, voulait que je noue des relations. Le mystère quant à lui, m’invitait à revoir l’ambassadrice de Lorraine en Franche-Comté.

J’affichai un sourire en coin qui n’était que le reflet de mon aisance du moment. Aisance que je ne m’expliquais pas, moi qui avait toujours été nerveux face à la nouveauté.

« Il me tarde de rencontrer du monde. »

Et effectivement, je ne connaissais personnes. Cette affirmation cachait là une demande qui, je l’espérais, serait comprise par Carlotta.